Parlez de ce que vous voulez, vous ne serez pas (trop) censuré... jeux video, actualité, sport, mode etc etc ce que vous voulez (ou presque) !
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Croc a écrit:si je comprends bien nous avons sur ce site des exemplaires rares de belges accomplis en informatique!!
Je suis toujours sidérée de lire ce sujet de forum. Il faut sauver la Belgique!


...Faut pas exagérer non plus... Pour ce qui est de la sauver, si tu as une solution, elle sera la bienvenue... mais y'en a pas... fallait pas la créer en 1830, la Belgique, les Pays-Bas, c'était pas si mal avec le roi Guillaume (Willem)... Moi, je vais me faire membre du RWF... je vois pas d'autre solution...
Het Verdriet van Wallonië...
Léon a écrit:Moi, je vais me faire membre du RWF... je vois pas d'autre solution...



.... ben, comme ça vous serez 4, il va falloir trouver un autre endroit qu'une cabine téléphonique pour les réunions du Parti. :wink:
Merci, Wilfrid!

Wilfried Martens commence à regretter d'avoir lancé Leterme

L'ancien premier ministre Wilfried Martens commence à regretter d'avoir lancé Yves Leterme à la conquête du leadership fédéral, a-t-il confié à l'hebdomadaire français Le Nouvel Observateur.

"C'est moi qui l'ai poussé à avoir une ambition fédérale. Je commence à avoir des remords", indique Wilfried Martens. Fort de ses 800.000 voix, Yves Leterme ambitionne de devenir premier ministre. Le Roi lui avait confié une mission de formateur du gouvernement mais celle-ci a abouti à une impasse.

L'étoile de l'ex-ministre président flamand a pâli depuis le 10 juin à un point tel que certains commencent à douter de sa capacité à endosser le rôle de chef de file du gouvernement fédéral. Le scepticisme semble gagner la propre formation d'Yves Leterme, le CD&V, l'ancien premier ministre Wilfried Martens affirmant cette semaine commencer à avoir des remords de l'avoir lancé dans l'arène fédérale. (belga)
Cet article est extrêmement bien écrit. J'ai si mal pour mon pays.
Vu de France, dans le journal "La Voix du Nord" d'aujourd'hui...:

Des vieux démons au fond de l’impasse politique belge.
Lundi, les élections et la victoire relative du leader démocrate-chrétien flamand, Yves Leterme, auront trois mois. Trois mois de négociations, de renoncements, de blocages, de coups de force et de petites phrases entre partis flamands et wallons, empêchant la formation d’un nouveau gouvernement et aiguisant la question séparatiste.


PAR OLIVIER BERGER

Place du Jeu de la balle, en plein coeur du quartier populaire de Marolles à Bruxelles, le marché aux puces bat son plein, comme tous les matins depuis 1873. Et si c’était l’idée de la Belgique qui était en passe de devenir une antiquité, coincée entre une pendule et un buffet ? « N’exagérons rien ! » s’esclaffe Wilfried, francophone et rigolard : « Mais c’est vrai que la crise de cette année a réveillé nos vieux démons. » Il est accompagné d’un copain flamand qui raille : « On est une espèce en voie de disparition ! ».

La séparation n’est plus un mot tabou.

Pour beaucoup de Belges, au-delà de l’humour, c’est la résignation et le fatalisme qui l’emportent : atermoiements politiques, nominations par le roi de négociateurs, d’un explorateur, incompréhension croissante entre les deux communautés, volonté flamande de s’arroger les pouvoirs au détriment du gouvernement fédéral et des transferts vers la Wallonnie, menace même floue d’une séparation. La Belgique tremble-t-elle sur ses bases ? Béatrice Delvaux, rédactrice en chef du grand quotidien francophone Le Soir, a titré un éditorial la semaine passée : « Séparation : le mot n’est plus tabou. » La négociation de « l’orange bleue », la coalition entre les chrétiens-démocrates (CD &V pour les Flamands, CDH pour les Wallons) et les libéraux (VLD et MR), s’est transformée au fil de l’été en un face-à-face Nord/Sud et deux conceptions opposées de la Belgique. « Nous non plus, on n’y comprend pas grand-chose, se lamente Jean-François. Ça ne modifie pas notre vie de tous les jours. On attend simplement que les politiques s’entendent entre eux. » Le nom d’Yves Leterme, le leader du CD &V allié avec un petit parti autonomiste (N-VA), excite les passions. Il reste le favori pour le poste de Premier ministre mais s’est jusque-là montré trop brutal pour établir un consensus. Sans oublier qu’il a entonné par erreur La Marseillaise lorsque la RTBF lui a demandé de chanter La Brabançonne… Un explorateur chevronné de son parti, Herman Van Rompuy, poursuit en coulisses les négociations. Il remettra prochainement un rapport au roi. Mais la route est étroite et partiellement défoncée. Le hiatus n’est même plus politique puisque la principale opposante à Leterme est Joëlle Milquet, la présidente des démocrates-chrétiens wallons !
« Leterme s’est très mal débrouillé en ne montrant pas assez qu’après avoir été le premier des Flamands, il pouvait devenir le premier des Belges », analyse Nicolas qui a une mère néerlandophone et un père francophone. « Moi, je suis belge. Je peux leur rappeler ce que cela signifie », ajoute cet agent commercial totalement bilingue.

Un sondage de la VRT, la télévision flamande, illustre la forme de schizophrénie qui s’empare des Belges : 60 % des Flamands et 47 % des Wallons croient la séparation possible mais 76 % des nordistes et 81 % des sudistes estiment que la Belgique existera toujours en 2020. « Si les Flamands ne veulent plus de la Belgique et des francophones mais qu’ils s’en aillent ! lâche Kevin, un antiquaire de la rue Blaes. On les verra à l’oeuvre. Mais je ne crois pas qu’ils iront jusque-là. »
Ensemble ou à côté ?

Si la séparation n’est pas sérieusement d’actualité, les Flamands affûtent leurs revendications. On n’en est pas revenu au « Wallen buiten ! » (Wallons dehors) à l’université de Louvain en 1968. Mais des signes ne trompent pas comme ce tour à vélo du « Gordel », la ceinture flamande autour de Bruxelles, qui a réuni 75 000 personnes dimanche passé ou la décision de la municipalité de Hal de supprimer les panneaux bilingues.
Néerlandophones et francophones vont continuer à vivre à côté les uns des autres. Ensemble, c’est une autre histoire. •


http://www.lavoixdunord.fr/journal/VDN/2007/09/09/FRANCEMONDE/ART747418.phtml
Gropapa a écrit:Merci, Wilfrid!

Wilfried Martens commence à regretter d'avoir lancé Leterme

L'ancien premier ministre Wilfried Martens commence à regretter d'avoir lancé Yves Leterme à la conquête du leadership fédéral, a-t-il confié à l'hebdomadaire français Le Nouvel Observateur.

"C'est moi qui l'ai poussé à avoir une ambition fédérale. Je commence à avoir des remords", indique Wilfried Martens. Fort de ses 800.000 voix, Yves Leterme ambitionne de devenir premier ministre. Le Roi lui avait confié une mission de formateur du gouvernement mais celle-ci a abouti à une impasse.

L'étoile de l'ex-ministre président flamand a pâli depuis le 10 juin à un point tel que certains commencent à douter de sa capacité à endosser le rôle de chef de file du gouvernement fédéral. Le scepticisme semble gagner la propre formation d'Yves Leterme, le CD&V, l'ancien premier ministre Wilfried Martens affirmant cette semaine commencer à avoir des remords de l'avoir lancé dans l'arène fédérale. (belga)


Il est temps de le regretter... i
Het Verdriet van Wallonië...
La Belgique n'est pas à vendre, en tout cas plus sur eBay

Le site de ventes en ligne eBay.be allait retirer en fin de journée une annonce mettant la Belgique en vente, a annoncé ce lundi Peter Burin, le porte-parole d'eBay. La plus haute offre était de 10 millions d'euros à 21h00 (heure à laquelle l'annonce était toujours visible, ndlr).

Mise à prix: 1 euro
Depuis le 15 septembre, les internautes pouvaient émettre une offre pour "Belgium, a kingdom in three parts". Le vendeur est Gerrit Six, un ancien journaliste. Il avait mis notre pays en vente pour une valeur de départ de un euro. Après 26 offres, le montant atteignait déjà les 10 millions d'euros. Selon eBay, le site ne peut pas maintenir la vente de quelque chose de virtuel ou d'irréaliste. Vendre et acheter sur eBay doit en outre pouvoir se faire en toute neutralité, a commenté la société.

Pièces détachées
L'annonce présentait la Belgique comme un royaume qui peut être acheté dans son entièreté, mais précisait qu'un tel achat est déconseillé. Les trois Régions pouvaient être vendues séparément mais "en faisant attention à la dette de l'Etat de 300 milliards d'euros qui doit encore être répartie", plaisante le vendeur. Supplément gratuit: le roi et sa cour (coûts non inclus).

Coup médiatique
Par cette annonce, Gerrit Six espère attirer l'attention. "Et ça marche visiblement. Je suis dans tous les journaux. Le Monde court après moi pendant toute une journée pour m'interviewer", commente l'auteur de l'annonce.

Pas une première
Selon le porte-parole d'eBay, ce n'est pas la première fois que la Belgique se trouve à vendre sur eBay. "Mais à l'époque, ce n'était pas un Belge qui avait fait l'annonce et elle n'était pas aussi bien tournée et aussi drôle. Celle-ci est non provocante et assez subtile", estime enfin Peter Burin. (belga/7s7)
300 milliards de dette publique c'est beaucoup quand meme pour un pays de 10 millions d'habitants non??
up the irons!!!
Au 31/08/2007, la dette publique fédérale belge est de 282.17 Mias EUR.

http://www.debtagency.be/fr_index.asp

La dette publique belge se rapproche rapidement de la moyenne européenne

La dette publique belge descend à un rythme assez soutenu. De 136,7% du PIB en 1993, celle-ci est en effet retombée à 95,5% en 2004, se rapprochant ainsi de la moyenne européenne.

En 2005, la réduction sera plus modeste vu la reprise en janvier de la dette de la SNCB portant sur 7,4 milliards d'euros. D'ici 2015, elle passera sous la barre des 60%. La réduction de la dette publique en Belgique sera d'ailleurs plus forte que dans les pays voisins, étant donné que le boni primaire y est nettement supérieur à la zone euro.
sepieter a écrit:300 milliards de dette publique c'est beaucoup quand meme pour un pays de 10 millions d'habitants non??


...c'est un dette en grande partie intérieure, les bailleurs ne sont pas hors de la Belgique... Bref, c'est l'épargne nationale qui a financé la dette...
Het Verdriet van Wallonië...
J'ai entendu ce matin à la radio qu'un journaliste belge à mis la Belgique en vente sur Ebay... C'est monté jusqu'à 10 Mio d'EUR avant d'être stoppé par le site. Le pays était en vente en bloc (pas de séparation wallons - flamands).
La moitié des Flamands veulent une scission de la Belgique

Près d'un Flamand sur deux veut que la Belgique soit scindée, et deux sur trois pensent que cela sera le cas tôt ou tard. C'est ce qu'indique un sondage réalisé par Het Laatste Nieuws et publié mardi. Les Flamands estiment qu'il est bien que les partis flamands ne cèdent pas dans le cadre des négociations en vue de la formation d'un nouveau gouvernement.

La confiance en Yves Leterme, qui avait connu un certain effritement, est à nouveau intacte. Il reçoit l'appui effectif de 70% des Flamands interrogés. D'autres éventuels candidats-Premiers ministres, comme Didier Reynders ou Herman Van Rompuy, ne récoltent même pas 10% des suffrages lors de ce sondage.

Le président de la N-VA, Bart De Wever, bénéficie aussi de la confiance des personnes interrogées qui le considèrent comme le meilleur négociateur. Les politiciens francophones sont moins appréciés. Joëlle Milquet ne remporte même pas l'adhésion d'un Flamand sur 10 et Didier Reynders remporte un 4 sur 10.

CD&V/N-VA et Open Vld se maintiennent dans ce sondage. Les socialistes flamands payent par contre le prix des discordances internes du sp.a et atteignent leur plus bas score historique dans ce sondage, avec seulement 14% de Flamands en leur faveur, alors que la liste Dedecker est en hausse. (belga)
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Je me demande si la dernière image n'est pas un peu trop sterk pour le forum ?
Het Verdriet van Wallonië...
Raaaah non Westmalle envahie par les eaux !!!!!! :x :x
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