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Pour rebondir sur l'article de 20 Minutes, un petit exercice:

Essayez d'aller au bout de cet autre article sans être exaspéré:
https://business.lesechos.fr/entreprene ... 311327.php

On débute par un mélange des genres: "Le Tacos (...) version française du tacos mexicain".

Je n'avais pas de doute sur les intentions de départ, l'article assume pleinement le fait de parasiter le terme "Tacos".

Pire, on peut rapidement lire:
"De par sa dénomination, ce plat a une forte connotation tex-mex."

Bah tu m’étonne #-o

"Or, « ce n'est pas notre culture. Cette cuisine reste confidentielle en France. Jusqu'à présent, elle n'existait pas en restauration rapide. Taco Bell, leader mondial du tacos, a d'ailleurs toujours refusé de s'installer en France »"

Alors là c'est magnifique. Nous autres ignorants qui ne connaissions pas le Tacos, il fallait donc un messie pour nous initier à cette cuisine.
Mais pour ce faire, autant proposer quelque chose de radicalement différent. Logique...
Du coup, quel est l’intérêt de mentionner Taco Bell si ce n'est parasiter la marque de ce groupe ? (ce qui peut être condamnable)

Je passe sur la fin de l'article concernant la montée en gamme etc... sachant pertinemment que la qualité des ingrédients utilisée est une des principales critiques.

J'admets être un "poil" aigri sur ce sujet, mais ce type de publi-reportage désinformé me fatigue.
Je ne peux pas lire car il faut désactiver son bloqueur de pub ou s'abonner (chose que je ne ferai pas).
Mais je comprends ce que tu veux dire, et je suis plutôt d'accord avec toi.
C'est un produit qui commence à se faire un nom : le tacos séduit de plus en plus en restauration rapide et les réseaux spécialisés commencent à se développer. Effet de mode ou véritable tendance de fond ?

Petit à petit, le tacos se fait une place de choix au rayon de la restauration rapide . Version française du tacos mexicain, cette galette de blé est garnie, entre autres, de viande, de légumes divers et de frites. De quoi séduire les plus jeunes. Il n'est ainsi pas étonnant de trouver les restaurants spécialisés à la sortie des collèges et des lycées. « Les clients ont généralement entre 15 et 29 ans. Mais si les plus jeunes viennent en premier, la clientèle commence à s'élargir », explique Mohamed Souahli, fondateur et dirigeant de Tacos Avenue. À mi-chemin entre le kebab et le panini, le tacos a donné un coup de vieux à ces deux standards de la restauration rapide du déjeuner. Et c'est dans la région Rhône-Alpes qu'il a pris son essor, un coin de la France dont est originaire Mohamed Souahli. « Je trouvais sympa l'idée de travailler avec un produit plus diversifié que le kebab, une autre viande et la possibilité de faire évoluer le produit », se souvient-il.

Sortir de l'image mexicaine

Après avoir lancé son premier restaurant en 2007, le réseau Tacos Avenue arrive en franchise en 2014 pour compter aujourd'hui une vingtaine de points de vente. Pourtant, le produit partait avec un handicap. De par sa dénomination, ce plat a une forte connotation tex-mex. Or, « ce n'est pas notre culture. Cette cuisine reste confidentielle en France. Jusqu'à présent, elle n'existait pas en restauration rapide. Taco Bell (NDLR groupe Yum Brands, également propriétaire de KFC et Pizza Hut), leader mondial du tacos, a d'ailleurs toujours refusé de s'installer en France », explique Bernard Boutboul, directeur général de Gira Conseil.

À l'instar de O'Tacos ou encore Tacos Avenue, les enseignes qui ont fait le choix de se développer en réseau ont bien compris la problématique. « En francisant les recettes, comme cela a pu être fait avec le burger, alors ça peut décoller », poursuit le spécialiste. D'autant plus que, ces dernières années, une autre tendance est apparue dans la restauration rapide. Le fast-food ne bénéficiant pas forcément d'une bonne image, la volonté des acteurs du marché consiste à monter en gamme. Un message bien perçu par Mohamed Souahli : « Le tacos marchera toujours à condition de le valoriser avec des produits de qualité. Si on dévalorise le produit, alors le client prendra peur et va fuir. C'est pourquoi nous avons fait le choix de la qualité », plaide-t-il.

Le savoir-être, essentiel à la réussite

Si son enseigne affiche un développement modéré, le succès du tacos aiguise l'appétit de ses concurrents. Ainsi, lancé en 2007 également en Rhône-Alpes, O'Tacos assume une stratégie d'implantation agressive et compte déjà une centaine de restaurants sur le territoire. « En France, il existe un tour de magie. Lorsque l'on met des protéines dans un morceau de pain, ça fonctionne. C'est le cas avec le croque-monsieur, le hot-dog, le bagel… Le tacos est désormais un sandwich de plus », résume dans un sourire Bernard Boutboul. Reste à trouver le bon équilibre pour s'inscrire dans la durée. Par la qualité des éléments utilisés, mais pas seulement. Baser son activité sur un seul produit représente toujours un risque. « C'est toujours compliqué pour des raisons économiques, d'autant plus quand le ticket moyen est bas », assure l'expert de Gira Conseil. Autre facteur à prendre en compte : « le savoir-être », conclut Mohamed Souahli. Le tacos a tout pour réussir à condition que les acteurs du secteur usent des bons ingrédients.


Source : https://business.lesechos.fr/entreprene ... 311327.php


C'est cadeau (parce que gratuit au départ)
Si je tenais le con qui a inventé le régime...
http://sansunefaute.tumblr.com/
Merci :chinois:
C'est vrai que c'est très moyen comme article... Pas mal de passages me font tiquer. Surtout quand l'accent est mis sur la "qualité". Faut pas se mentir, ça reste un basique produit de kebab et concernant la nouveauté, j'en mangeais déjà il y a 15 ans (certes sans sauce fromagère maison).
Ils ont réussi à bien s'installer grâce à leur côté communautaire et aux réseaux sociaux, il faut voir maintenant si les enseignes ouvertes dans les quartiers non populaires vont perdurer ou non. Je leur souhaite en tout cas.
en 'francisant le produit' non mais n'importe quoi....

Allez je lance l'idee ' Nous avons remarqué que la cuisine italienne était en perte de vitesse en France. Alors nous avons francisé nos spaghettis bolognaise, qui sont maintenant composés de haricots blancs, de confit de canard, de lard, de saucisses et de jarret de porc'.
Bah faut bien qu'il la vende sa camelote. :D Après le publireportage c'est mal mais ça paie.

Pour ma part plus un industriel me sort des arguments plus je me méfie. :) La qualité ça se voit et ça n'a pas besoin d'envolées lyriques.

Nous avons remarqué que la cuisine italienne était en perte de vitesse en France. Alors nous avons francisé nos spaghettis bolognaise, qui sont maintenant composés de haricots blancs, de confit de canard, de lard, de saucisses et de jarret de porc
Oh faut mettre un peu de basilic et de mozzarella et on pourrait appeler ça des cassolotti ! :)
Dire que cette daube (pour moi) est en train de parasiter le "vrai"...
Tenez, je viens de découvrir qu'une franchise allait ouvrir chez moi, au centre commercial Paquebot. On ne manquait pourtant pas d'offres de restauration rapide, ça en fera une de plus.
Ah, tiens, c'est vrai que tu es à Saint-Nazaire. J'ai une soirée là bas la semaine prochaine, mais je ne sais pas du tout où ils ont prévu de manger !
Il y a du choix, même au niveau burgers. :wink:
J'ai tenté le Gigatacos jeudi dernier pour m'amuser :lol:

Vous voulez les photos histoire de rigoler un peu ? :lol:
Owi owi owi ! :D
Envoie des photos ! On veut la recette et tout ! Et un récit complet :lol:
Haha oui !
Et j'aimerais un petit récit, qu'est ce qui t'es passé par la tête ? :lol:
C'est le genre de délire que j'essaierai bien de me faire à l'occasion... :bave:
Nous sommes le Jeu 28 Mar 24 14:29

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